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Portraits des Alumni
Découvrez notre communauté ! Notre réseau d’Alumni est riche de parcours et profils très divers, qui font toute la richesse de notre communauté. Découvrez-en quelques-uns ici.
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Bénédicte HERBOUT - Diplômée du master en sciences de la population et du développement en 2016
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« Ce qui a été une force de ce master, c’est de m’avoir donné un esprit critique, et de m’avoir appris à forger une analyse réflexive continue sur mon propre travail et mes engagements »
Allier politique de développement et protection de l'environnement ? C'est possible. Et c'est le pari relevé par Bénédicte dans sa pratique professionnelle et dans ses engagements personnels. Pour cela, elle a d'abord suivi le master en sciences de la population et du développement à l'ULB. Ensuite, convaincue que social et environnemental vont de pair, elle a complété sa formation avec un master en sciences et gestion de l'environnement. Ce qui lui a vraiment plu dans son premier master ? Le processus de recherche et de rédaction du mémoire, pour lequel elle réalise un stage au Cameroun dans une coopérative féminine locale. En parallèle à ses études, elle participe à l'organisation de mobilisations pour le climat, et s'engage comme bénévole pour l'aide médicale aux réfugiés.
Dans le cadre de son deuxième master, Bénédicte effectue un stage dans une compagnie internationale en Allemagne qui finance des projets de développement à impact social et environnemental positif dans plusieurs régions du monde. Début 2018, elle saisit l'opportunité d'y être engagée comme analyste sociale et environnementale en alliant ses deux domaines de prédilection. Pendant un an et demi, elle contribue à l'élaboration de la politique de l'entreprise afin d'assurer la portée positive des projets financés. À travers ses visites de terrain et la collaboration avec des experts, sa double formation lui permet de tenir compte du contexte culturel local de chaque projet tout en usant d'un esprit critique à toute épreuve.
En avril 2020, Bénédicte décide d'entamer une année sabbatique afin de se lancer dans des activités qui l'ont toujours passionnée sans avoir pu s'y dédier pleinement. Aujourd'hui, elle se consacre à l'écriture (Notes à Bene) et se forme en maraîchage et en permaculture dans une ferme biologique en Bavière. Une occasion, pour elle, d'explorer de nouvelles voies d'expression de ses engagements multiples. -
Adrian JEHIN – Diplômé du master en sociologie en 2015
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« La sociologie m'a apporté une nouvelle manière de voir les choses, elle m'a aussi appris à savoir nuancer mes propos, garder du recul et observer tous les aspects d'une situation donnée. J’ai gagné en diplomatie, sur le plan humain et sur le plan professionnel, et cela m’a été vraiment précieux.»
D'abord passionné par le journalisme, Adrian complète un bachelier en information et communication à l'ULB avant de s'orienter vers un master en sociologie. Ce master lui permettra d'investiguer en profondeur les questions de société qui l'intéressent, à l'aide d'une méthodologie à la fois théorique et pratique qu'il apprendra à maîtriser aussi sur le terrain. Il réalise un stage d'observation dans les bureaux de la rédaction d'un journal belge et développe une analyse critique du monde du travail journalistique dans le contexte de crise de la presse écrite. En plus d'un regard critique, la sociologie lui aura apporté une sensibilité à observer et à comprendre le monde du travail.
Diplômé en 2015, Adrian décide de compléter sa formation par un master en gestion. Il se passionne alors pour les questions économiques et se spécialise dans le développement durable. Il s'intéresse particulièrement aux modèles économiques émergents qui proposent des solutions alternatives pour une meilleure vie collective. C'est par un stage dans le secteur de l'économie sociale qu'il découvre une nouvelle vocation: promouvoir des activités économiques qui répondent à un besoin collectif plutôt qu'à la recherche de profit, dans une volonté de respect du travailleur et de son environnement.
En 2020, Adrian travaille comme chargé de communication pour ConcertES, la plateforme de concertation des organisations et fédérations représentatives de l'économie sociale en Belgique francophone. Il lance des projets de communication en collaboration avec d'autres fédérations membres et rédige le magazine en ligne de la plateforme pour lequel il réalise ses propres enquêtes sur des questions économiques actuelles. Ce qui lui plaît dans son travail? Documenter des pans de l'économie qui nous touchent au quotidien, tout en s'investissant dans des projets à impact social.
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Antoine CORTOT - Diplômé du master en anthropologie en 2015
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« Si je dois retenir quelque chose de l’anthropologie, c’est le fait que comprendre, c'est se donner les moyens d’agir de façon éclairée, et ça, je pense que ça n’a pas de prix. »
Originaire du Sud-Hainaut, Antoine décide d'étudier à l'ULB après ses études secondaires. Il s'oriente vers un bachelier en sociologie et anthropologie car il se rend compte que son intérêt pour les questions de société peut trouver un écho dans les démarches propres aux sciences sociales. Pari réussi: à travers ses études, il formera son esprit critique tout en abordant des thématiques sociales diverses. Après une première année de master en anthropologie à Bruxelles, il réalise trois mois de terrain ethnographique au Bénin. Il passe ensuite sa deuxième année de master à l'École des hautes études en sciences sociales à Marseille dans le cadre du cursus européen qui lui confère un double diplôme.
Antoine a trouvé à l'ULB un environnement intellectuel stimulant, en ébullition. Il apprécie particulièrement la diversité des activités proposées sur le campus du Solbosch, enrichissantes à tous égards: conférences, débats, événements culturels et folkloriques. À travers la pratique du libre examen et du débat argumenté, il découvre des valeurs progressistes qui resteront présentes tout au long de son parcours.
Ce sont également ces valeurs qui motiveront son choix professionnel: diplômé en 2015, Antoine est rapidement engagé dans le Centre d'Action Laïque de la province de Namur. En 2020, il travaille comme délégué à l'animation à destination première du public jeunesse du Centre. Il est également amené à s'adresser à un public adulte dans le cadre de l'éducation permanente. Au-delà de la promotion de la laïcité, il organise pour les adolescents des évènements abordant des thématiques en lien avec la citoyenneté, l'esprit critique et les questions d'actualité. Il organise aussi des expositions, des conférences et des débats destinés à un public plus large. Cela lui permet d'explorer notamment les thématiques des migrations, des religions, du colonialisme ou du féminisme. À travers ces projets originaux, il réalise un travail de réajustement constant en fonction de l'évolution du monde social. Un défi relevé par Antoine grâce aux outils acquis durant sa formation et sa volonté de toujours remettre en question ce qui est tenu comme acquis.
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Aurélie DUVIVIER - Diplômée du master en anthropologie en 2015
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« L'anthropologie m'a apporté une manière de structurer mon esprit, de réfléchir et de prendre distance par rapport à mon petit monde en m'ouvrant à d'autres choses. Cette ouverture d'esprit m'a permis de m'adapter à des situations que je n'avais jamais rencontrées auparavant.»
Passionnée par le monde marin, Aurélie entame des études en biologie à l'ULB pour finalement se réorienter vers le bachelier en sociologie et anthropologie. Ce qui l'anime, c'est avant tout la pratique de terrain et l'immersion culturelle que celle-ci implique. Grâce à un concours inter-facultaire lancé par ULB-coopération en 2014, elle a l'opportunité de réaliser son premier stage à l'étranger, à Kinshasa. Elle y suit pendant quelques semaines des associations locales de santé. Suite à ce voyage, et pendant ses deux années de master en anthropologie, elle s'engage dans la création d'une émission sur Radio Campus consacrée aux thèmes de la coopération, du développement, et des relations nord-sud.
C'est pendant son master qu'elle trouvera sa voie, en approfondissant son intérêt pour l'anthropologie de l'environnement maritime: pour traiter des relations entre les êtres humains et le milieu marin, elle réalise deux enquêtes en Corse et en Birmanie.
Ce qui lui a plu dans le master? Les cours de méthodologie de la recherche, l'échange avec les professeurs, le fait de pouvoir mettre en pratique la théorie apprise en cours. Cette formation en anthropologie lui a apporté un bagage théorique et méthodologique enrichissant; mais surtout, cela lui a appris à cultiver une ouverture d'esprit en toutes circonstances.
Diplômée en 2015, Aurélie part faire du bénévolat à Sainte-Lucie, dans les Caraïbes, pour une association dédiée à la protection de l'environnement. Elle sait alors qu'elle poursuivra sa carrière dans des milieux insulaires, au plus proche de la population locale. C'est cette conviction qui guide sa première expérience professionnelle à l'étranger: direction Madagascar, où elle restera pendant 3 ans. Elle commence par un stage comme coordinatrice de projet communautaire dans une association locale qui mène des enquêtes liées à la santé et à l'environnement auprès de la population. Ensuite, elle est engagée comme coordinatrice du pôle santé du projet et dirige sa propre équipe. Elle met en place un réseau de partenariat avec des acteurs de la santé locaux où elle conjugue campagnes de sensibilisation et animations.
De retour à Bruxelles, Aurélie travaille un moment dans le domaine de l'éducation permanente. Assez rapidement, elle décroche un emploi en tant que coordinatrice des réseaux de solidarité pour Caritas International en Corse, basée à Ajaccio. Aurélie coordonne des équipes de bénévoles sur l'ensemble de la région. Toujours attentive aux réalités concrètes du terrain, elle coordonne l'accueil de jour des personnes en situation précaire et dirige les collaborations avec les autres associations humanitaires françaises présentes sur le territoire.
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Laura LACROSSE - Diplômée en master en anthropologie en 2013
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« Grâce à mes études en anthropologie, j'ai pu étudier la médecine traditionnelle dans plusieurs contextes, apprendre à porter un certain regard sur le monde, et comprendre que ce sont souvent les mêmes questions qui reviennent dans des contextes différents.»
Lors de sa dernière année d'études d'assistante sociale, Laura effectue un stage dans la maternité d'un hôpital en Bolivie. Là, elle remarque un décalage entre le monde hospitalier et l'univers des femmes indigènes qui viennent pour y être soignées. Aiguillée par cette découverte, elle entame un master en anthropologie à l'ULB afin de prolonger sa réflexion sur la périnatalité, par un angle plutôt social que médical. Pour son mémoire, elle retourne en Bolivie et travaille sur l'articulation entre médecine traditionnelle et médecine moderne.
Son désir d'approfondir le sujet de la périnatalité ne s'arrête pas là. Diplômée en 2013, Laura travaille quelques années comme assistante sociale pour femmes enceintes dans un hôpital bruxellois. Grâce à une bourse du Bureau International de la Jeunesse, elle repart six mois en Amérique du Sud, cette fois-ci pour y mener ses propres recherches. Elle est d'abord accueillie en Colombie par une association locale qui crée des ponts entre médecine traditionnelle et médecine moderne. Elle part ensuite à la rencontre de sages-femmes indigènes au Mexique pour comprendre leur pratique dans un monde de la santé en mutation.
De retour en Belgique, Laura travaille comme assistante sociale dans une structure d'aide aux familles mono-parentales. Dans la continuité de sa réflexion sur la maternité et la famille, elle suit une formation de doula, d'accompagnatrice à la naissance en dehors du monde médical. Enrichie par une approche anthropologique qui lui a appris à observer, écouter et apprendre des autres, Laura passe de l'autre côté: elle prend le temps de cheminer avec ces femmes et ces familles pour leur offrir une aide adaptée à leurs besoins.
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Nicolas ROBERT - Diplômé du master en sciences de la population et du développement en 2011
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« J'ai énormément appris pendant ces années de master en développement, j'ai beaucoup aimé la vision critique du développement et la remise en question du travail humanitaire, avec un intérêt constant pour l'être humain que je trouvais primordial »
Nicolas revient à Bruxelles pour entamer des études après une enfance passée au Moyen-Orient. Intéressé par les cultures anciennes, il étudie d'abord l'archéologie puis se passionne pour ses cours d'anthropologie. Il décide ensuite de suivre un master en sciences de la population et du développement pour étudier d'un point de vue critique les aspects économiques, politiques et historiques des relations Nord-Sud. Il effectue notamment un stage dans un centre d'accueil pour réfugiés tibétains dans le nord de l'Inde et travaille sur l'impact des politiques internationales sur les parcours migratoires.
Son intérêt pour les questions migratoires lui servira d'atout quand, tout juste diplômé, il décroche un emploi à la Croix-Rouge de Belgique en 2011. Il travaille quelques années dans des centres d'accueil pour demandeurs d'asile de la Croix-Rouge à Bruxelles jusqu'à devenir directeur adjoint de l'un des centres. Vivre avec ces demandeurs d'asile et éprouver leurs difficultés au quotidien l'amène à se poser des questions. Il désire se confronter à la réalité de ces migrants dans leur pays d'origine. Il postule alors au Comité International de la Croix-Rouge, une organisation humanitaire qui apporte assistance et protection aux personnes résidant dans des pays en conflit ou en situation de violence.
Depuis 2015, Nicolas a réalisé plusieurs missions pour le CICR en Palestine, en Centrafrique et au Soudan du Sud. Il soutient les populations touchées par les hostilités à travers des projets d'assistance et rappelle aux parties en conflit leurs droits et leurs obligations. Aujourd'hui posté en Éthiopie, il est conseiller en protection basée sur la communauté. Il forme ses collègues à prendre conscience des risques que les populations touchées par les conflits encourent afin d'apporter une solution adaptée à leurs besoins. Ce qu'il aime dans son travail, c'est avant tout la richesse humaine : « ce que je recherche, ce qui me stimule, c’est de me rendre compte qu’on est tous des êtres humains et qu’on a tous des particularités, mais dans le fond... Qu'on est tous unis quelque part ». -
Timoté GEIMER - Diplômé du master en gestion des ressources humaines en 2011
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« J'ai toujours voulu partager, et j'aime aussi que les gens partagent entre eux : ça, c'est quelque chose que j'ai retrouvé dans mon parcours à l'ULB et que j'ai perpétué dans toutes mes activités par la suite »
Le rêve de Timoté en commençant ses études? Une carrière dans le recrutement, le challenge de trouver les meilleurs profils pour une entreprise. Après un bachelier en sciences humaines et sociales, il se lance dans un master en ressources humaines. Ce qu'il retient de ses études, c'est avant tout l'interdisciplinarité de cette formation. Cela lui a appris à s'adapter à beaucoup de matières différentes, mais aussi à garder une sensibilité humaine au coeur de tout ce qu'il va entreprendre.
La vie à l'ULB? L'occasion de s'investir dans plein de projets extra-académiques: il devient délégué facultaire des sciences sociales en plus de sa contribution à la vie estudiantine de plusieurs cercles. Il participe également à la création du Bureau Étudiant de l'Institut des Sciences du Travail dont il sera président et avec lequel il organisera beaucoup d'activités de soutien aux étudiant.e.s.Diplômé en 2011, Timoté travaille pendant un an dans le recrutement. Il rejoint ensuite la start-up Talentsquare, une plateforme de gestion des processus de recrutement. Il est alors le premier employé et sera amené par la suite à diriger l'entreprise pendant un an. Cette aventure marque un tournant dans sa carrière: il se spécialise dans la gestion de produit et le développement de l'identité digitale des sociétés avec lesquelles il collabore. Après, il rejoint la start-up Elium, une plateforme de partage de connaissances au sein de tout type d'entreprise. En 2020, il est directeur produit et marketing chez Nowjob,et développe, avec son équipe, une application permettant de mettre en relation des employeurs avec des candidat.e.s désirant trouver un job secondaire. Il a également lancé un outil de pilotage d’équipe appelé Achieved et exerce comme consultant en stratégie pour différentes sociétés.
Autodidacte accompli, Timoté n'a pas été freiné par sa carrière pour promouvoir les ressources humaines à travers des projets dynamiques. Il a participé pendant plusieurs années à l'organisation de conférences et d'évènements collaboratifs favorisant la culture des ressources humaines. Il est intervenu fréquemment à l'ULB et à la Haute École Francisco Ferrer pour partager son expérience dans le recrutement. Il aime réfléchir à de nouveaux moyens qu'il va mettre en place pour partager son expertise d'un monde du travail en entreprise constamment en mouvement.
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Pauline GRÉGOIRE - Diplômée du master en sociologie en 2007
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« Ce que mes études en sociologie m'ont apportées ? Cette connaissance sur le fait que beaucoup de choses sont construites, notamment dans la manière dont les femmes et les hommes fonctionnent et agissent. Cela m'a aussi donné la possibilité de développer cette opinion-là et d'y croire, assez fortement, pour arriver à déconstruire des tabous par rapport à cela »
Déconstruire les tabous liés à la sexualité, déranger - et dé-genrer - les stéréotypes liés aux rôles féminins et masculins: voilà les défis relevés par Pauline dans ses animations de sensibilisation à l'égalité des genres et à la sexualité. Tout commence une dizaine d'années auparavant, quand Pauline poursuit une candidature en sciences humaines et une licence en sociologie à l'ULB. Ses cours l'éveilleront notamment aux questions des inégalités sociales et des discriminations. Elle portera alors un intérêt grandissant aux questions de genre, qu'elle développera d'abord dans ses travaux universitaires et dans ses activités féministes et militantes par la suite.
Diplômée en 2007, Pauline réalise d'abord un an de stages dans le milieu des ressources humaines. Elle suit une formation en gestion puis travaille dans le marketing et la communication en ligne. Elle effectue ensuite une mission pour le Fonds des Nations Unies pour la Population en Bolivie pendant un an. Là, elle participe à un projet sur les thèmes de l'égalité des genres et de l'éducation sexuelle. Elle poursuit en parallèle une formation en Genre et Politiques Publiques. De retour à Bruxelles, elle travaille dans une fédération de planning familial dans le cadre d'un projet de sensibilisation à l'homosexualité et à l'homophobie. Elle s'occupe ensuite de la communication en ligne de Médecins Sans Frontières pendant plusieurs années. Elle met également sur pied un groupe de travail sur l'égalité des genres au sein du siège.
Pauline décide ensuite de concrétiser les réflexions qu'elle a accumulées pendant son parcours en créant, en 2017, l'association Im.pertinentes. Celle-ci accompagne les organisations qui souhaitent travailler sur l'égalité des genres et l'éducation à la sexualité afin de susciter une prise de conscience quant à différents types de stéréotypes et de discriminations. Pour cela, elle collabore avec des organismes du monde du travail par des formations et ateliers et organise des animations pour enfants avec des associations d'aide à la jeunesse. Pauline a également co-fondé la collective de désobéissance civile Noms Peut-Être !, pour laquelle elle réalise aujourd'hui des balades féministes dans Bruxelles.
Son objectif ? Planter des graines de réflexion, pour que jeunes et moins jeunes se posent des questions, et puissent s'épanouir dans une société plus inclusive et égalitaire.